Ouvrir un établissement horeca

Attention : vous ne pouvez exercer que les activités professionnelles, chacune pourvue de son propre code NACEBEL, que vous avez signalées lors de votre inscription. Il est donc essentiel que vous réfléchissiez bien aux activités que vous souhaitez exercer au sein de votre entreprise aujourd’hui et à l’avenir.

Une fois inscrit, vous recevrez votre numéro d’entreprise que vous devrez indiquer sur tous vos documents officiels. Pour lancer une société (SRL, SA, SC, SNC ou SCS), vous devez d’abord déposer un acte constitutif auprès du greffe du tribunal de l'entreprise.

Vous pouvez confier votre inscription à la BCE à un guichet d'entreprises agréé comme Acerta, qui remplira toutes les démarches administratives pour vous.
 

Le numéro de TVA est différent du numéro d’entreprise, vous devez donc l’activer séparément.
 

Sur la base de votre statut et de vos revenus, votre caisse calcule le montant des cotisations sociales que vous devez payer chaque trimestre à l’État par son intermédiaire. En échange de vos cotisations, vos droits sociaux, qui comprennent notamment l’assurance maladie, les allocations familiales, la pension et les soins informels, sont garantis.

Toute caisse d’assurances sociales vous facture des frais pour la gestion de votre dossier. Bonne nouvelle : le pourcentage pris par Acerta est le plus bas du secteur ! Vous pourrez ainsi épargner une belle somme tout au long de l’exploitation de votre établissement horeca.
 

Si vous possédez une entreprise unipersonnelle, vous pouvez payer tant vos affaires privées que professionnelles avec un seul compte. Toutefois, il reste recommandé d’ouvrir un compte professionnel même dans ce cas. Le contrôleur financier n’aura ainsi pas accès à vos opérations privées et votre administration professionnelle ainsi que votre comptabilité resteront claires.
 

• Vous possédez une assurance responsabilité civile familiale pour votre vie privée ? Très bien ! Mais elle ne couvre pas les dommages résultant de vos activités professionnelles. C’est pourquoi en tant qu’indépendant, vous êtes tenu de souscrire une assurance responsabilité professionnelle avec responsabilité civile.
• Vous faites face à un litige commercial avec un fournisseur ou à des factures impayées ? Grâce à Acerta, vous pouvez bénéficier d’une assistance et de conseils juridiques à un tarif avantageux.>
• Vos cotisations sociales vous permettent d’avoir droit à une allocation légale en cas d’invalidité ou de maladie de longue durée. Elle n’est toutefois pas suffisante pour couvrir tous vos frais permanents. Protégez-vous contre toute perte de revenus en souscrivant une assurance revenu garanti: outre le paiement de la mutuelle, vous recevrez une allocation mensuelle supplémentaire. Bon à savoir : cette prime d’assurance est entièrement déductible de vos revenus professionnels !
• Votre pension, un moment encore bien lointain ? Peut-être bien. Mais pour conserver votre niveau de vie à votre pension, mieux vaut commencer à épargner dès maintenant. C’est possible en souscrivant une PCLI ou une PCLIS, une pension complémentaire libre pour indépendants (sociale). Les experts d’Acerta se feront un plaisir de vous conseiller sur ces options d’épargne-pension et bien d’autres encore.
• Vous engagez du personnel en salle et/ou en cuisine ? N’oubliez pas de souscrire une assurance accidents du travail dès l’entrée en service !
   

D’ailleurs, saviez-vous qu’en tant qu’indépendant débutant, vous pouvez compter sur des subsides et des financements de votre commune et du gouvernement ? Ça vaut le coup de vérifier !