Récapitulatif
Les portes de votre entreprise peuvent-elles simplement rester ouvertes ? Il vous faut alors respecter bon nombre de mesures sanitaires. Si vous ne le faites pas, vous risquez de lourdes amendes et peut-être même l'emprisonnement.
Le RGPD a été relégué quelque peu à l’arrière-plan en raison de la situation actuelle. Pourtant, les directives générales restent en vigueur même maintenant, mais il y a aussi certaines spécificités dont vous devez tenir compte en raison du coronavirus.
Envisagez de partager vos travailleurs avec d’autres employeurs. Le partage de travailleurs constitue une alternative durable pour les collaborateurs inactifs et les vagues de licenciement coûteuses, mais cela ne s’arrête pas là.
Que devez-vous faire en tant qu’employeur si votre travailleur souhaite rester à la maison pour accompagner son enfant dans l’enseignement à domicile, ou doit combler les vacances de Toussaint prolongées ?
Lors du premier confinement de mars et d’avril, le télétravail est soudainement devenu la norme. « À titre temporaire », pensions-nous. Vendredi dernier, le Comité de concertation a décidé de le rendre à nouveau obligatoire.
Face à l’évolution de la pandémie, le nouveau gouvernement a signé un nouvel arrêté ministériel ce dimanche 18 octobre qui sort ses effets dès ce lundi. Mais quels en ont les effets sur les employeurs ?
Les deux motifs ou raisons les plus utilisés actuellement sont la force majeure et des raisons économiques. Il existe cependant d’autres motifs encore pour invoquer le chômage temporaire.
Jusqu’à ce jour, on calculait toujours l’indemnité de rupture d’un travailleur en crédit temps sur base de sa rémunération au moment de la rupture. Cependant, un récent arrêt de la Cour de cassation pourrait bien changer la donne.
L’effet de la crise est considérable, mais dans de nombreux cas seulement temporaire. Certaines entreprises se voient contraintes de mettre leurs travailleurs en chômage temporaire, d’autres ont trop de travail.