Récapitulatif
Du 2 novembre au 13 décembre 2020 inclus, des mesures plus strictes sont en vigueur. Le télétravail est obligatoire, seuls les magasins essentiels peuvent rester ouverts. Découvrez ici les principales modifications pour les employeurs.
Le RGPD a été relégué quelque peu à l’arrière-plan en raison de la situation actuelle. Pourtant, les directives générales restent en vigueur même maintenant, mais il y a aussi certaines spécificités dont vous devez tenir compte en raison du coronavirus.
Envisagez de partager vos travailleurs avec d’autres employeurs. Le partage de travailleurs constitue une alternative durable pour les collaborateurs inactifs et les vagues de licenciement coûteuses, mais cela ne s’arrête pas là.
Vous souhaitez encore appliquer le chômage temporaire pour les prochains mois ? N’oubliez pas que vos collaborateurs doivent prendre leurs jours de vacances avant la fin de l’année.
Certains secteurs sont à nouveau contraints de fermer leurs portes. Le gouvernement a promis de nouvelles mesures de soutien, mais à qui s’adressent-elles ?
Que devez-vous faire en tant qu’employeur si votre travailleur souhaite rester à la maison pour accompagner son enfant dans l’enseignement à domicile, ou doit combler les vacances de Toussaint prolongées ?
Lors du premier confinement de mars et d’avril, le télétravail est soudainement devenu la norme. « À titre temporaire », pensions-nous. Vendredi dernier, le Comité de concertation a décidé de le rendre à nouveau obligatoire.
Face à l’évolution de la pandémie, le nouveau gouvernement a signé un nouvel arrêté ministériel ce dimanche 18 octobre qui sort ses effets dès ce lundi. Mais quels en ont les effets sur les employeurs ?
Les deux motifs ou raisons les plus utilisés actuellement sont la force majeure et des raisons économiques. Il existe cependant d’autres motifs encore pour invoquer le chômage temporaire.